Étrange cette sensation qui ne me trompe presque jamais. Dès les premières phrases, les premiers mots, je sais si je vais aimer ou non le roman que j’ai décidé de lire. Et vous, cela vous fait-il le même effet ?
Avec le roman de Sandrine Mehrez Kukurudz, L’Atelier au fond de la cour, j’ai tout de suite su que c’était le genre d’histoires de famille qui allait me plaire.
Mon avis :
En parallèle, deux récits à deux époques différentes.
En 2017, une jeune femme Clara, ambitieuse et talentueuse, douée pour la couture et la création, mais meurtrie par son père qui est parti de la maison sans un mot lorsqu’elle avait dix ans.
En 1933, débute l’histoire du grand-oncle de Clara, Max, qui fascine cette dernière. On découvre alors un jeune homme en quête d’accomplissement qui rêve de devenir un grand couturier et qui adore le théâtre.
Leurs routes se croiseront, comme cela arrive parfois quand l’amour est au rendez-vous. Grâce à l’écriture élégante et émouvante de Sandrine, nous traversons l’espace et le temps pour notre plus grand bonheur. Qui ne rêve pas de se rapprocher un jour de ses aïeux ?
Dès le début, les personnages sont attachants. Je me suis sentie immédiatement en bonne compagnie auprès de Michèle, la mère de Clara, de Clarisse, la grand-mère, d’Eric, de Paul… et bien évidemment de Max.
Cette histoire de famille est jalonnée de rebondissements et à chaque fin la surprise est totale. Malgré des événements sombres, la volonté des personnages d’aller de l’avant et de croire en leurs rêves m’a fait chaud au cœur.
Je vous conseille fortement de découvrir ce roman qui est une petite pépite de bonheur, tellement réconfortante en ces temps incertains.
Merci, Sandrine, pour votre énergie communicative.
Pour trouver ce roman :
Amazon : L'Atelier au fond de la cour